Comme on l'a vu il y a quelques jours, il y a bon nombre d'années que Ray Banana a dû se mettre à la langue de Goethe à l'occasion de la publication de ses premières aventures par l'éditeur Taschen. A la suite de quoi il ne peut parfois se retenir de faire son intéressant en plaçant ci et là un mot d'allemand (toujours bienvenu lorsqu'on se pique de philosophie). On se souvient que malheureux Pileggi en a fait les frais la dernière fois...
Ces expressions "la langue de Goethe, la langue de Shakespeare... de Molière, etc..." ça commence à bien faire! Trouvons quelque chose de plus simple et plus original, une fois. (NdT)
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